« Après une Fugue en ut de Wilhelm Friedemann Bach (le premier fils), nous retrouvons le père pour le Ricercare a tre voci du Musikalische Opfer, dans une interprétation secrètement respirée, de grande tenue. Avec une maestria médusante, Maude Gratton se lance ensuite dans l’exécution fiévreuse de la Polonaise en fa majeur Fk.12/10 de l’héritier, enchainée à la fort belle Fantaisie en ré mineur Fk.19. »

Marqué comme , , . Commentaires fermés sur Bertrand Bolognesi, Anaclase, septembre 2013